À notre époque encore, prendre du temps pour soi peut être ressenti comme culpabilisant, voire égoïste.
Nous pensons au contraire que c’est l’un des besoins les plus primaires de l’être humain. C’est de l’instinct d’auto-préservation !
Et surtout, c’est tout le contraire de l’égoïsme : c’est en s’assurant d’être bien dans sa peau et dans sa tête qu’on est capable d’être disponibles pleinement pour les autres. Si nous dysfonctionnons, nous sommes moins efficaces et moins ouverts vers les autres, tout simplement.